Texte de référence à propos de La boutique des chrétiens
La crucifix c’est sans aucun doute le symbole médiéval le plus employé dans l’histoire de l’humanité. Elle est autant présente dans le Christianisme que dans quelques organisations surnaturels. Sa présence en un lieu traduit la véracité d’un essence, d’une église, d’une cathédrale… On peut également la trouver à l’entrée des cimetières, sur les tombeaux de nos disparus ou sur le visage des personnes qui en on effectue un signe de prestance. Bien que sa signification dans le Église se réfère à la crucifixion de Jésus Christ, ce empreinte identitaire n’a été decrit dans le Église que 3 siècles après sa mort. Rappelons avant de poursuivre que la croix ne nait pas avec le catholicisme encore moins avec le coté sombre de Jésus Christ.
La croix de Saint-André est une tau qui a l’apparence d’un X. Elle tient son nom de Saint-André, qui aurait été martyrisé sur une crucifix de cette forme. Elle peut aussi être prénommée crucifix décussée, ou carré, et est très utilisée sur les images et les drapeaux, ou encore comme symbole d’avertissement. La tau de limousin ( ou crucifix patriarcale ) est une crucifix romaine avec une deuxième barre prostituée en haut. Elle était classifiée sur les écu des archevêques puis fut utilisée par les ducs d’Anjou, devenus ducs de provence-alpes-côte d’azur ensuite. La barre supérieure génère un panonceau qui aurait été aménagé avantage du Christ ( « Jésus de Nazareth, roi des Juifs » ).
La croix patriarcale est une sorte de croix chrétien possesseur la caractéristique d’avoir une supplémentaire. Si vous ne voyez pas de ce dont nous parlons, ce pendentif avec une calvaire patriarcale vous en montre un bon exemple Il existe plusieurs hypothèses qui s’efforcent d’explique le sens de cet élément. L’une des explications beaucoup appréciés est que le sarse reine, qui est également sur différentes croix dont nous parlerons dans un instant, génère la plaque qui fut collé haut de Jésus lorsqu’il fut crucifié. Il s’y vivait ainsi l’inscription : « Jésus de Nazareth, Roi des Juifs ».
Beaucoup de chrétiens adorent porter une crucifix sur le thorax. Ils adorent cette crucifix puisque jésus a rescapé le monde en donnant sa vie sur la tau. Beaucoup de prêtres et de médiéval portent aussi la croix. Ils recherchent faire parade par-là leur don total à Jésus, leur maître. Les évêques aussi portent une croix pectorale. Mais les frères de certaines églises chrétiennes, dès qu’ils voient quelqu’un avec cette croix sur la poitrine, commencent à le critiquer et à lui réprimander de supplicier le sauveur du monde, de fonctionner comme un idolâtrique…
Le mot « Croix » dérive du latin Crux. Chez les personnes nées après guerre romains, il s’agissait d’un tool un moyen pour corriger des terribles souffrances, la crucifiement plus. Mais, en restant dans le environnement des symboles, rappelons-nous que dans la numération peson le chiffre 10 s’écrit X, élément qui rappelle beaucoup une crucifix. En arrivant au Christianisme, comme nous l’avons déjà hâtif, la calvaire est l’essentiel empreinte identitaire de cette confession. Elle souviens, en effet, la morbidité de Jésus, crucifié par devis transport de Ponce Pilate, Procurateur romain de la gainier, qui le condamna beaucoup. Paradoxalement, d’un geste si ombrageux et insensible, la croix vit le jour de nouveau et a assumé une valeur joyeuse, puisque la attention et le coté sombre de Jésus simultané avec l’accomplissement de Sa mission de salut pour hommes. Un personnalité d’amour totale, ainsi, de immolation extrême.
La première grande apparition du chrisme est combinée à un incident marquant de l’histoire copte : la progression de l’empereur romain Constantin. L’histoire raconte que l’empereur, né à nouveau naguère au Église, aurait perçu dans un rêve le symbole du chrisme, suivi du une demande « In semblable signo vinces » ( par ce signe tu vaincras ). Après sa bénéfice, le chrisme devient l’un des symboles officiels des empereurs romains de traité protestant. On le trouve sur des pièces de monnaie, des képis ou des boucliers. Le chrisme perdra par la suite en capacité sur le continent européen de l’Ouest, doucement substitué par le tau dans l’iconographie ouaille. Plus à l’est, il reste un personnalisation très utilisé au cours de toute la fin de l’Antiquité et jusqu’au Moyen-Âge. On croise fréquemment des chrismes sur les vitraux, les bas-reliefs ou les frontons d’édifices gothique. Le monogramme du Christ est aussi très présent dans toute la peinture d’inspiration copte.
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