Plus d’infos à propos de streetwear eco responsable
Vous est-il déjà arrivé d’acquérir un vêtement que vous n’avez jamais porté car vous vous êtes rendu compte trop tard qu’il n’était pas fait pour vous ? Et sans doute que cette situation s’est reproduite plusieurs fois ! Coûteuses et ennuyeuses, les erreurs de goût peuvent arriver à tout le monde ! Mais celles qui connaissent leur morphologie et de ce fait les à preférer ou à éviter, font sans aucun doute des économies. Selon leur type de silhouette, elles choisissent des habits vestimentaires adaptées qui mettent en valeur leur corps et cachent les petits défauts. Ainsi, vos tenues mettront en valeur votre silhouette et révéleront votre potentiel beauté ! Alors que si vous ne tenez pas compte de votre forme de visage lorsque vous achetez vos vêtements, vous risquez de vous guider vers des articles qui ne vous vont pas très bien. Et là, arriverez déçue par le produit de vos séances shopping.
Lorsqu’on démarre sa but sartoriale, la recherche d’une bonne chemisette est la première étape. C’est l’élément-clé d’une habillement réussie et équilibrée quand vous portez un costume. de nos jours, l’encolure français/classique est le plus commun dans le vêtement. Il se distingue par des pointes assez longues et par une une ouverture de col limitée. Cependant, avec l’arrivée de la mode du moulant, ce col est devient minuscule et se retrouve à l’origine de nombreux désastres sartoriaux : les pointes ne intéressent pas le revers et en conséquence, le nœud de la cravate est plus imposant que ces dernières, créant un déséquilibre et un effet peu esthétique. Afin d’obtenir un meilleur rendu visuel, nous vous suggérons donc de privilégier l’encolure cutaway/italien. Votre budget est très très serré ? Alors, attendez les périodes de soldes. Mais ce n’est pas tout, d’autres moyens s’offrent à vous pour faire de bons deals.
Le choix de nos diffère si on travaille dans une banque ou si on est enseignante. Qu’on le veuille ou non, l’entreprise nous impose certains codes à respecter. En observant les autres, on se fait dès le début une idée sur le type de look à sélectionner. Lorsqu’on arrive à un entretien d’embauche en étant habillée dans le design général et l’esprit de la structure, on montre à notre ( futur ) patron qu’on a saisi l’identité de l’entreprise, et ce qu’il attend de nous. Bref, on fait passer un message de sérieux, et aussi, d’intérêt pour la boîte. Si on est auto-entrepreneur ou que le boss c’est nous, il ne faut pas oublier que notre image doit dégager de l’autorité et de la respectabilité. Lorsqu’on rencontre quelqu’un, il se fait une opinion en 20 secondes, or, une habillement classsique sans accessoires ne montrera pas notre personnalité. Les accessoires sont une manière de montrer qui on est sans prendre trop de risques vestimentaires.
Mais LA vedette parmi les stars n’est autre que la laine mérinos. Elle assure une gestion de l’humidité parmi les meilleures puisqu’elle transporte directement l’eau au stade de vapeur et non après condensation comme le font les fibres artificielles. Le maintien au sec est donc bien plus rapide. Pour le naturel, on trouve de la plume et du duvet d’oie. Il est léger, facilement compactable, très douillet et confortable. Rayon point faible, son prix est assez important et son entretien exigeant, mais l’inconvénient majeur est sa résistance à l’humidité, nulle, et son temps de séchage très long, ce qui fait, en cas d’averse par exemple de repartir avec une doudoune trempée et en perdre ainsi tous les bénéfices. Pour le synthétique, le confort est moins convaincant, le gonflant moins sexy, l’efficacité à poids égal moindre, mais son comportement en climat humide est bien meilleur puisqu’il continue à vous isoler du froid, et son temps de séchage est plus court. par ailleurs, le passage en caisse vous fera moins grincer des dents que pour du naturel.
L’individu ( et donc le travailleur ) est défini par son passé, son origine et son look. Il s’habille aussi selon tous ces facteurs et véhicule ainsi un message conscient ou non à son environnement. Les vêtements sont ainsi une deuxième nature. Le choix de la look, des couleurs et du style influence son comportement et celui des individus avec lesquels il interagit. La génération Y sait ce qu’elle veut, n’a pas froid aux yeux, et cela se voit dans son style vestimentaire. Elle l’utilise afin de se différencier, apparaître unique et cool. Un discours en accord avec la métamorphose du monde du travail et l’émergence de la “start-up nation” française. Leur code vestimentaire vient ainsi à l’encontre de celui rencontré jusqu’ici dans les entreprises. Loin du costume, leur style est un savant mélange entre le corporate et le de rue. L’idée de « bien s’habiller au bureau » prend alors une dimension bien différente.
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